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Le Capharnaüm du Bonsaï
5 mars 2008

Peur(s) du noir

Je prends un peu d'avance sur la semaine prochaine en vous parlant de ce film. Parce qu'il n'est plus diffusé que dans trente salles dans toute la France, parce qu'il est génial et que ce serait idiot de le rater parce que votre bloggeur préféré ne vous en aura pas parlé à temps. Donc pour vous donnez envie de vous donnez envie d'aller le voir...
Peur_s__du_noirPeur(s) du noir est composé de six histoires, deux en épisodes et quatre entières. La première histoire est celle d’un homme qui promène ses quatre gros chiens à travers la campagne. Cette histoire me fit penser à la façon dont Roald Dahl a écrit certaines de ces nouvelles (j’y reviendrais une prochaine fois) : on sait d’avance que ça va mal finir pour le type qui promène ses chiens mais on ne sait pas encore comment et pour cela, il faut attendre la toute fin du film. Après chaque épisode de l’homme aux chiens, venait une histoire principale. La première de ces histoire est celle d’un jeune homme passionné de zoologie qui tombe amoureux d’une étudiante lors de ses études. Comme ça, ça ne fait pas peur, mais le voyant, j’ai immédiatement pensé à un épisode des contes de la crypte (mais je suis incapable de vous dire lequel et d’ailleurs si je vous le disait, ça ne vous ferait plus peur, car vous sauriez alors à quoi vous attendre). La deuxième histoire est celle d’une petite fille qui arrive dans sa nouvelle école. Je n’en dis pas plus, c’est sordide. La troisième est celle d’un jeune garçon qui passe un été chez son oncle et sa tante près des marais ; l’endroit est hanté par un monstre descendu des nuages et caché dans l’eau. C’est ma préférée. La dernière enfin, qui ma préférée aussi mais juste après la précédente est le classique de la maison hantée mais c’est tellement angoissant que l’on entend battre son cœur… Le seul bémol, ce sont les peurs écolo-politicorrecto d’actrices qui entrecoupent chaque histoire. Je ne sais pas si ce sont leurs peurs réelles ou celles du scénariste, mais elles ne vont pas avec le reste. Leur but peut-être est de détendre le spectateur, de le faire rire un peu, de le distraire...
Parce que l'histoire qui va suivre le glacera d’effroi.

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