Une tempête !
Une
tempête, je veux une tempête. Selon la météo de ce matin, elle est
finie. Selon Météo France, elle doit revenir ce soir. Donc je veux une
tempête. Et pas une petite avec ses un ou deux arbres renversés, ses
trois pots de fleur envolés et sa cheminée écroulée. J'en veux une
façon "Twister" avec de la pluie horizontale, des bus volants et des
poussettes portées jusque dans la stratosphère. Sinon je vais être dans
de très mauvaises dispositions.
Explications. mon but ce matin était
d'arriver avant 9h00. Je suis donc parti sitôt la revue de presse
européenne de Cécile de Kervasdoué (:-)) et ai donc manqué le début de
l'entretien d'Ali Baddou (essayant de récupérer sur mon podcast cette émission, je me suis aperçu que j'avais oublié un "D" à son nom, désolé ; mais pourquoi je n'arrive pas à la podcaster, c'est trop "explicite" ?) avec les responsables de l'étude sur la
sexualité des Français (étude qui a pris cinq ans !) pour arriver au
bureau à 8h40. Peine perdue avec la ligne 13, je suis arrivé à 9h15.
Certes, j'avais dans les mains une nouvelle pleine de suspense et sans
temps mort de Jules Verne, Maître Zacharius (trouvez le jeu de mot !),
et sous les yeux une ravissante jeune femme (Zhang Ziyi exponentielle
1000 !!!). Mais je suis arrivé en retard.
Donc
si ce soir, je n'ai pas une tempête façon "le jour d'avant du jour
d'après", je serai en très mauvaise disposition par rapport aux
professeurs "Labrousse" qui m'auront convaincu de ne pas prendre mon
vélo.